Saison 6

Adepte des techniques de management les plus modernes, le patron de Natalim, une PME agroalimentaire, organise une course d'orientation en forêt pour stimuler ses jeunes cadres dynamiques. Mais l'un d'entre eux est assassiné pendant l'épreuve. Il s'agit de Marine Dessay, une belle jeune femme, précipitée dans un ravin par un inconnu. Alors que le lieutenant Balaguère suit la piste d'un mystérieux pervers sexuel, qui sévit dans la forêt depuis quelque temps, Élisabeth Brochène préfère s'intéresser aux rivalités existant au sein de l'entreprise Natalim. Elle découvre en effet que Marine n'était pas seulement belle mais ambitieuse et devait susciter bien des jalousies, puiqu'elle était sur le point d'être nommée directrice générale adjointe, devenant ainsi le numéro 2 de la société

Hélène Lancelot, psychanalyste, a été assassinée à son domicile et son meurtrier s'est acharné sur elle à coups de marteau. La victime, qui vivait seule dans une maison isolée, possédait une collection d'objets d'art de grande valeur, un élément qui oriente tout d'abord l'enquête sur la piste d'un cambriolage qui aurait mal tourné. Le lieutenant Marie Balaguère et le procureur Élisabeth Brochène interrogent un livreur de pizzas, Thierry Jadel, aperçu sur les lieux du crime et connu des services de police pour avoir commis des vols. Puis, au cabinet de la défunte, les deux femmes font la connaissance de Carl Vigeant, praticien reconnu et très médiatique et associé d'Hélène Lancelot. Marie et Élisabeth font appel à ses compétences pour tenter de confondre Thierry Jadel

Marc Cayon, 35 ans, est violemment agressé dans le parking de son lieu de travail. Son assaillant s'enfuit à moto, après l'avoir dépouillé de ses papiers, de ses clefs et de son téléphone portable. Malade du coeur, Cayon décède peu après. Le même jour, le personnel de Baxos, l'entreprise dans laquelle travaillait le défunt, est victime d'une intoxication alimentaire. Le procureur Elisabeth Brochène pense que les deux affaires peuvent être liées car Marc Cayon avait également déjeuné à la cantine. Les analyses effectuées dans le cadre de l'enquête lui donnent raison : elles révèlent la présence de toxine botulique dans l'appareil digestif de Cayon. L'homme est donc bien mort d'un empoisonnement d'origine criminel et non des suites de son agression